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Ce blog me permet de transmettre le message de l'Islam, pour éveiller les âmes à plus de compréhension du monde qui nous entoure et ranimer les mémoires trop endormies sur divers sujets. Les musulmans aspirent à voir une Oumma beaucoup plus unie et soudée bien au-delà de nos divergences.

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La différente entre le Conseil et la Critique 1/3

Publié le 20/10/2016 à 15:00 par khadijamine Tags : soi histoire enfants amour pensées affiche roman vie moi monde bonne homme chez femme mort heureux livre aimer livres islam
La différente entre le Conseil et la Critique  1/3

 

Au Nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

 

Toute la louange est à Allah, Seigneur des Mondes, que Sa prière et Ses Salutations soient sur celui qui craint le plus Allah, le sceau des Prophètes Muhammad (Salla Allah 'alayhi wa sallam), sa famille, ses compagnons et tous ceux qui les ont suivi dans le bien, jusqu'au Jour Dernier.

 

Voici quelques paroles résumant et regroupant ce qui a trait à la différence entre conseiller et condamner. Ces deux termes sont presque synonymes dans le sens où il s’agit de dire au sujet d'une personne ce qu’elle n’aimerait pas que l’on dise d’elle. Cependant, la différence entre les deux peut être mal comprise par nombre de gens. Et Allah est Celui qui garantit la bonne compréhension.

 

Sache que dire au sujet d'une personne ce qu'elle n'aimerait pas entendre (la concernant) est interdit, si c’est dans le seul but de la rabaisser et d’afficher ses fautes et ses défauts.

 

Cependant, s'il y a dans cette mention (du défaut), un bénéfice pour la masse des Musulmans [surtout pour certains d'entre eux] et que le but derrière cela est d’atteindre ce bénéfice, alors cela n'est pas interdit, mais plutôt recommandé.

 

Les savants du hadith ont confirmé cela dans leurs livres sur le sujet du " Jarh wat- Ta'dîl "  en déclarant qu'il y a une différence entre critiquer les rapporteurs de hadith,  et  la  médisance.  Ils  ont  également  réfuté  ceux  qui  assimilent  ces  deux termes, parmi les fervents adorateurs, ou ceux qui ne possèdent pas beaucoup de science (1).

 

 

De plus, il n'y a aucune différence entre :

 

  • Critiquer les narrateurs d'un des savants du hadith (huffâdh) et distinguer ceux dont les narrations doivent être acceptées et celles qui ne le sont pas.

 

  • Montrer l'erreur de celui qui s'est trompé dans la compréhension des sens du Livre et de la Sunna, en donnant des interprétations erronées, et qui s'est attaché à quelque chose de faux. Ceci afin que cette personne ne soit pas suivie dans la faute commise. Les savants sont également unanimes sur la permission de faire cela la clarification.

 

C'est pourquoi nous trouvons que leurs livres sur les nombreuses sciences de la religion, comme le Tafsîr (exégèse du Coran), l'explication du hadith, le Fiqh (jurisprudence), la divergence entre les savants etc., contiennent beaucoup d'arguments  et de réfutations des déclarations de ceux dont les paroles ont été rendues faibles parmi les savants du passé et du présent, parmi les Sahabah (compagnons), les Tabi'in (génération qui les a suivi), et ceux qui vinrent après eux.

 

Aucun des gens de science n'a délaissé ce principe. Et aucun n’a prétendu, dans sa réfutation, vouloir dénigrer, rabaisser ou diffamer les individus dont les paroles ont été réfutées. A moins que l'auteur qu'il a réfuté fasse partie de ceux dont la parole était vulgaire et qui affichaient de mauvaises manières en s'exprimant. En ces circonstances, sa vulgarité et son vice sont dénoncés, en dehors de sa réfutation et de son opposition envers lui, en se basant sur des arguments religieux solides et des preuves irréfutables. La raison de tout cela est l’unanimité des savants de cette religion sur la volonté d’exposer la vérité qu'Allah a envoyée par Son prophète (Salla Allah 'alayhi wa sallam), afin que toute la religion soit purifiée pour Allah (Seul) et pour que Sa parole soit la plus haute.

 

 

De plus, ils admettent tous que l’acquisition de la totalité de la science, sans en négliger quelque partie que ce soit, est un niveau qu'aucun d'entre eux n'a et ne prétend avoir atteint, que ce soit les savants du passé ou du présent. C'est pourquoi, les Imams des Salafs (Pieux Prédécesseurs) [ceux dont la science et les mérites sont reconnus par tous] acceptaient la vérité de la part de qui que ce soit, même si cette personne était jeune. Et ils exhortaient leurs collègues et disciples à accepter la vérité si elle se trouvait chez autres qu’eux.

 

Un exemple de cela peut être trouvé dans la parole de Umar (qu’Allah l’agrée) lorsqu'il prononça son opinion concernant la dot de la femme. Une femme lui répondit en récitant la Parole d'Allah :

 

" Si vous voulez substituer une épouse à une autre, et que vous ayez donné à l'une un qintâr, n'en reprenez rien. Quoi ! Le reprendriez-vous par injustice et péché manifeste ? "

(Coran 4:20)

 

 

Après cela, Umar revint sur son opinion et dit : " Une femme a dit vrai et un homme s'est trompé ".  Il a également été rapporté qu'il a dit : " Tout le monde a plus de compréhension dans le Fiqh que Umar ".

 

Quelques savants célèbres disaient sur le fait de se forger une opinion  sur une question : " Ceci est notre opinion, celui qui nous apportera un avis meilleur, nous l'accepterons de lui ".

 

L'Imam Al-Shâfi'î (qu’Allah lui fasse Miséricorde) était très rigoureux dans cette compréhension, ainsi, il incitait ses compagnons à suivre la vérité et à accepter la Sunna si elle leur apparaissait contradictoire à leurs propres (opinions). Il les encourageait à " jeter leur avis contre le mur " (les abandonner). Il disait dans ses ouvrages : " Il n'y a aucun doute que vous y  trouverez  (dans  mes opinions)  ce qui  contredit  le Livre  et la Sunna, car Allah, le Très Haut, a dit :

 

" Ne méditent-ils donc pas sur le Coran ? S'il provenait d'un autre qu'Allah, ils y trouveraient certes maintes contradictions ! "

(Coran 4:82)

 

 

 

Et qu'y a-t-il de plus éloquent que sa parole : " Aucun n'a débattu avec moi sans que je n'ai remarqué que la vérité se manifestait aussi bien sur ma langue que sur la sienne ".

 

Cela indique que son intention n'était que de montrer la vérité, même si elle se manifestait sur la langue d'un autre que lui, parmi ceux avec qui il a débattu ou qui ont divergé avec lui.

 

Quiconque possède ce type de comportement, alors il ne détestera pas voir son opinion réfutée, ou que sa contradiction avec la Sunna soit montrée, que ce soit durant sa vie ou après sa mort.

 

C'est la voie que les savants de l'Islam du passé et du présent [ceux qui en sont les protecteurs et qu'ils s'efforcent d'élever] utilisaient pour "parler" des gens. Ils ne détestaient pas recevoir un avis (différent du leur) de la part de ceux qui les contredisaient avec une preuve qu'on leur présentait. Ceci, même si cette preuve n'était pas forte, ils l'acceptaient et abandonnaient leur preuve pour celle-ci (qui leur avait été présentée).

 

C'est pourquoi l'Imam Ahmad mentionnait Ishâq bin Rahawayh (qu’Allah leur fasse Miséricorde)  en le louant et le recommandant. Et il disait : " Même s’il diverge sur quelques questions, de toute manière, les gens ne cesseront d'être en divergence entre eux ".  Ou une autre parole du même sens.

 

Et on lui présenta plusieurs fois les paroles d'Ishâq et d'autres Imams, ainsi que les sources à partir desquelles ils avaient forgé leurs opinions, il n’était pas d'accord avec eux, mais il ne rejetait pas leurs avis et leurs argumentations, même s'il ne les approuvait pas.

 

 

L'Imam Ahmad  (qu’Allah lui fasse Miséricorde)  appréciait ce qui était rapporté de Hâtim Al-Asam, lorsqu'on lui dit : " Tu n'es pas Arabe et tu ne parles pas avec éloquence, pourtant personne ne débat avec toi sans que tu ne le fasses taire. Comment prends-tu le dessus sur tes adversaires ? "  Il répondit : " Par  trois  choses : Je suis  heureux lorsque mon opposant dit vrai,  et je m'attriste lorsqu'il se trompe. Je retiens ma langue face à lui, de peur que je ne dise quelque chose qui le blesserait ".  [ou une parole du même sens] alors Ahmad a dit : " Que cet homme est sage ! "

 

Donc, réfuter des opinions faibles et montrer la vérité en considérant ce qui lui est opposé, en se basant sur des preuves légiférées, ne font pas partie de ce que ces savants réprouvent, mais de ce qu'ils apprécient, et ils recommandent et louent ceux qui le font.

 

Cela n'entre donc absolument pas dans la catégorie de la médisance. Mais supposez que quelqu'un désapprouve que soit dénoncée son erreur contraire à la vérité. Dans ce  cas,  il  n'y  a  aucune  considération  à  avoir  pour  cette  désapprobation,  car réprouver que la vérité soit montrée, si elle est en opposition à l'avis de l'individu, ne fait pas partie des choses louables.

 

C'est plutôt une obligation pour le Musulman d'aimer que la vérité soit clarifiée et que les Musulmans soient mis au courant, qu’elle soit conforme ou contraire à son avis personnel.

 

Cela fait partie du conseil sincère (nasihah) envers Allah, Son Livre, Son Messager, Sa Religion, les dirigeants et la masse des Musulmans. Et ceci, en fait est l’essence même de la Religion, comme le Prophète (Salla Allah 'alayhi wa sallam) nous en a informés.

 

Quant au fait de dénoncer une erreur d'un savant qui s'est trompé dans le passé, si la personne adopte un bon comportement dans ses paroles et perfectionne sa réfutation et sa répartie, alors il n'y a aucun mal et il ne sera pas blâmé. Si cela se passe mal, alors il n'a pas commis de péché non plus.

 

 

Lorsque les Salafs entendaient une parole qu'ils réprouvaient, ils disaient : « Cette personne  n'a  pas  dit  vrai. »  Cet  exemple  est  tiré  de  la  parole  du  Prophète (Salla Allah 'alayhi wa sallam) : " Abu As-Sanâbil n'a pas dit vrai ", lorsqu'il apprit qu'il avait émis le jugement selon lequel une femme, dont le mari était décédé alors qu'elle était enceinte, n'avait pas le droit de se marier avant quatre mois et dix jours après la mort de son époux (2).

 

Les Imams vertueux étaient très rigoureux dans le rejet  des opinions faibles de savants. Ils les ont réfutées avec le meilleur degré de réfutation, comme l'Imam Ahmad  avait  critiqué  Abu  Thawr  et  d'autres  pour  leurs  opinions faibles et isolées. Et il était très sévère dans sa réfutation.

 

Tout cela est de l'ordre de l'apparent, quant à ce qui ne l’est pas, si le but est seulement de montrer la vérité afin que les gens ne tombent pas dans l’erreur à cause des paroles d'une personne qui s'est trompée dans ses opinions, alors il n'y a aucun doute que cette personne sera récompensée selon cette intention et qu'avec cet acte et cette intention, il rentre dans la catégorie de ceux qui conseillent pour Allah, Son Messager, les dirigeants et la masse des Musulmans. Ceci, que la personne qui dénonce l'erreur soit jeune ou âgée.

 

Nous avons un exemple de réfutations de savants à l’encontre d’Ibn 'Abbas (qu’Allah l’agrée),  dont  certaines positions  avec  lesquelles  il  s’était  marginalisé, avaient été rejetées par les savants, comme [sa position concernant] al-mut'ah (mariage temporaire), as-sarf (le troc), les deux 'Umrah et d'autres…

 

Nous pouvons également citer l'exemple de ceux qui ont réfuté l'opinion de Sa'id Ibn Al-Musayyib qui permet à la femme qui a été divorcée trois fois (de se remarier avec son ex-époux) si elle s’est mariée avec un autre seulement avec le contrat de mariage (3), et d'autres avis qui contredisent la Sunna fermement établie.

 

 

Il y a aussi des savants qui ont contredit Al-Hasan sur son avis selon lequel une femme peut ne pas faire le deuil de son mari décédé, d'autres qui réfutèrent 'Ataa pour son autorisation du " prêt de soulagement ", Tawous dans beaucoup de questions avec lesquelles il diverge des savants, et  d'autres envers  lesquels  les  Musulmans sont  unanimes quant  à  leur guidée, leur science, et leur respectabilité.

 

Et aucun savant n’a dénigré ni n’a rabaissé ceux qui n’étaient pas du même avis qu’eux et leurs semblables.

 

Les Livres des savants musulmans du passé et présent, comme les livres de Al-Shafi'î, Ishâq, Abu 'Ubayd, Abu Thawr et les savants du Hadith et du Fiqh qui leur ont succédé, contiennent beaucoup d’expositions de ces opinions. Et si nous devions les mentionner, cela prendrait beaucoup de temps.

 

Mais si l'intention de celui qui réfute est de dénigrer celui qui est réfuté et de le rabaisser en montrant son ignorance et son manque de savoir, alors cela est interdit, que la réfutation soit faite en présence de l'intéressé ou en son absence, durant sa vie ou après sa mort. Cela rentre dans la catégorie des actes condamnés par Allah ta’âla  dans Son Livre et Il menace celui qui le commet, pour sa diffamation et sa médisance. Cela est aussi concerné par la parole du Prophète (Salla Allah 'alayhi wa sallam) :

 

" Ô vous qui croyez avec vos langues mais pas avec vos cœurs ! Ne causez pas de tord aux Musulmans et ne recherchez pas leurs fautes, car celui qui cherche leurs erreurs, Allah recherchera ses erreurs, et celui dont Allah cherche les fautes, Il l'humiliera, même s'il les a commises dans l'intimité de sa propre maison ".

(Rapporté par Abû Ya'la, Abû Nu'aym, Abû Dawûd, Tirmidhî et Baghawi)

 

 

Toutes ces paroles concernent les savants qui servent de références dans la religion, quant aux gens de l'innovation et de l'égarement, et ceux qui imitent les savants mais n'en font pas partie, alors il est permis de dénoncer leur ignorance et de montrer leurs défauts dans le but d'avertir ceux qui les suivent (4).

 

Cependant, ce point est en dehors du sujet. Et Allah sait le mieux.

 

********************

 

 

(1) Ce n'est pas une critique à l'encontre de ceux qui sont constamment dans l'adoration, mais c'est une mise en garde contre ceux qui pourraient être trompés par leur apparence. En effet, il arrive souvent lorsque des gens voient une personne qui excède dans l'accomplissement des actes d'adorations, ils supposent automatiquement qu'il est versé dans la science. Mais la plupart du temps, ce n'est pas le cas, donc on doit faire attention, car il existe bien une différence entre le 'âlim (savant) et le 'âbid (adorateur), comme le Prophète (Salla Allah 'alayhi wa sallam) a dit : " La supériorité du savant sur l'adorateur est comme la supériorité de la lune sur tous les autres astres ". (Rapporté par Tirmidhî, Abû Dawûd et d'autres)

 

(2) La 'iddah (période de viduité) avant que la femme puisse se remarier est de 4 mois et 10 jours. Mais si elle est enceinte, sa 'iddah est ce qui vient en premier entre les deux (les 4 mois et 10 jours ou le jour de son accouchement). Donc, si elle accouche avant les 4 mois soient écoulés, alors le temps de son accouchement est prioritaire et elle est autorisée à se remarier.

 

(3) Lorsqu'une femme est divorcée 3 fois par son époux, il ne peut se remarier avec elle sauf si elle se marie avec un autre, qu'elle a des rapports avec lui, puis qu'elle soit divorcée par lui. C'est seulement après cela, que son premier mari lui est permis. L'avis faible mentionne que la femme qui a été divorcée 3 fois, pour qu'elle lui soit halal de nouveau, elle doit juste se remarier avec un autre homme, sans avoir de relations avec lui (seulement avec le contrat de mariage), et se faire divorcer par lui. Et Allah sait mieux.

 

(4) C'est un point important que l'auteur mentionne avant d'aller plus loin dans son livre, car il ne veut pas que ses lecteurs pensent que ce traité concerne les innovateurs. Mais comme il le dit, la question doit être rendue publique pour qu'ils soient abandonnés et rejetés. La discussion ici ne s'applique pas à eux et ne peut être utilisée pour les défendre.