Ce blog me permet de transmettre le message de l'Islam, pour éveiller les âmes à plus de compréhension du monde qui nous entoure et ranimer les mémoires trop endormies sur divers sujets. Les musulmans aspirent à voir une Oumma beaucoup plus unie et soudée bien au-delà de nos divergences.
Date de création : 10.06.2013
Dernière mise à jour :
23.11.2025
35255 articles
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Par khadijamine, le 22.11.2025
salam sœur
est-ce possible d’avoir ce livre en verrsion pdf ?
merci à vous
Par hamidou, le 22.11.2025
17:110 : prière à voix haute tout le temps
Par Anonyme, le 15.11.2025
assalamou alaykoum. merci d' avoir attiré l ' attention sur une erreur que beaucoup commettent. su ' allah vou
Par Mountapmbeme Mouss, le 08.11.2025
bien compris
Par Anonyme, le 03.11.2025
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Pas plus les biologistes que les naturalistes, les médecins, les anatomistes ou les généticiens ne peuvent disserter des problèmes de résurrection, car ils s’emploient plutôt à l'étude des sciences de la vie. Depuis les origines, leur démarche a été particulièrement lente et hésitante, mais aussi patiente et riche en découvertes. Au cours du temps, il a fallu spécialiser les domaines d'investigation pour approfondir le champ d'activité. Afin de pénétrer dans le détail la structure du vivant, les spécialistes ont dû faire appel à la biologie cellulaire qui, à son tour donna naissance à la biologie moléculaire. Cette spécialisation a été rendue nécessaire, parce que la cellule, minuscule unité de base de toute matière vivante est une structure très complexe. Si le corps humain renferme 100 mille milliards de cellules, par contre depuis la naissance d’un enfant, jusqu’à la mort de l’adulte, ce sont des milliers de milliards de cellules qui auront été produites et chacune d'elles est un prodige de la création. Comme chacune d’elles renferme 3 milliards de lettres, le résultat effarant est qu’un seul être humain aura imprimé au cours de sa vie, un million de fois plus que toutes les imprimeries du monde réunies, depuis leur invention ! Un exploit qui ne peut être qualifié de banal. Pourtant, il n’aura fallu ni investissements, ni installations industrielles, ni personnel qualifié, car tout se déroule hors du contrôle même du sujet, alors que celui-ci est plongé dans l’ignorance totale des phénomènes incroyables qui se déroulent à l’intérieur de son corps.
La cellule abrite dans son noyau une longue molécule, appelée ADN (Acide désoxyribonucléique ou DNA, dans la terminologie anglo-saxonne) qui renferme dans un langage codé, tout le patrimoine génétique d'un individu donné. Chacune de ses particularités et de ses caractéristiques, est déterminée par un gène localisé sur les chromosomes. II existe cinq cent mille gènes environ qui forment le plan de fabrication de l’être humain, dont l’image et le capital génétique est unique et ne se retrouve jamais ailleurs dans l’humanité. Chaque homme possède son code particulier qui diffère de tous les autres codes de par le monde et se constitue dès que le spermatozoïde féconde l'ovule. Une fois en place, l’ADN est alors activé, et l'œuf commencera à se diviser selon une progression exponentielle, pour donner naissance à un enfant dont le corps renfermera déjà, des milliers de milliards d'exemplaires de son propre plan de fabrication. Théoriquement, il suffit de prélever un seul exemplaire pour reconstituer, l’enfant en question à l’identique, pratique utilisée dans le clonage.
Pour ce faire, il faudrait prélever le noyau de la cellule et l'injecter dans un œuf fécondé, débarrassé de son noyau d'origine avant de l'implanter dans l'utérus d'une femelle en gestation, où il se développera normalement. Le futur-né de cette manipulation sera le sosie du donneur. Il aura les mêmes traits, la même physionomie, une doublure que rien, ou si peu de caractéristiques distingueront de l'original. Les versions officielles déclarent que pour un problème d'éthique, les spécialistes n'ont pas conduit à leur terme ce genre d'expériences sur les êtres humains. Par contre, la pratique est devenue courante pour les animaux. De nombreuses espèces animales ont pu bénéficier de cette nouvelle technique, qui est certes délicate, mains néanmoins parfaitement maitrisable.
Des pionniers essayèrent de gravir un échelon supérieur en tentant de greffer à l'ovule, non seulement du matériel génétique d'animaux existants, mais encore ceux d'espèces disparues depuis très longtemps, en vue de les ressusciter ! Ainsi, des expériences ont été tentées pour essayer de reconstituer l'ADN d'une momie égyptienne vieille de 2.500 ans, par Svante Pääbo et son équipe de l’université d’Uppsala, en Suède. Après avoir prélevé un peu plus d'un gramme de tissu sec sur la jambe de la dépouille, les chercheurs firent reproduire des fragments d'ADN en utilisant des bactéries (escherichia coli). Les résultats furent prometteurs et le seul obstacle à la reconstitution de l'ADN était la faiblesse de la récolte qui ne comprenait qu'une infime partie du patrimoine génétique, absolument insuffisante pour reformuler le génotype de la momie. Mais, l’espoir d’arriver à des résultats satisfaisants reste de mise.
En Russie, des scientifiques soviétiques, dont le professeur Nicolaï Veechtchaguine, et d'autres spécialistes des Instituts de Zoologie et de Cytologie de l'Académie des Sciences d'URSS, ont entrepris des expérimentations en vue de ressusciter le mammouth, sorte d'éléphant fossile du quaternaire, disparu depuis des milliers d’années. Pour ce faire, ils se sont attelés à récupérer des cellules en bon état, auprès de cadavres de mammouths conservés dans le sol gelé de Sibérie et envisagent de transplanter les cellules dans les ovules d'éléphants précédemment énucléés, et de fixer le tout dans l'utérus de femelles en gestation. Ils espèrent ainsi réussir à donner la vie, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, à des animaux qui n'existent plus depuis des millénaires.
En 1984, des chercheurs Américains de l'Université de Berkeley (Californie) sous la conduite de Russel Higuchi et d’Allan Wilson ont pu établir que l'ADN d'un quaggua, sorte de zèbre et de cheval, est resté fonctionnel après une exposition de 140 ans au Muséum d'Histoire Naturelle de Mainz (RFA). Des cellules ont été prélevées des muscles de l'animal, où leur état a été jugé comme un indice encourageant pour la reconstitution de l’ADN au complet et éventuellement sa mise en culture pour recréer l’espèce disparue. Wilson a déjà réussi à isoler l'ADN d'un mammouth de Sibérie, mais sans pour autant pouvoir le reconstituer en raison de son mauvais état. La mort de l'animal remonterait en effet à quelque 40.000 ans. De telles expériences ont évidemment pour but de récupérer du matériel génétique intact, ou même des morceaux de gènes pour reconstituer l’ADN et faire revivre les espèces disparues. Bien que la route soit encore longue, la voie est déjà bien balisée. Les spécialistes sont d'accord pour estimer que dans un futur plus ou moins proche, des progrès considérables seront accomplis par la biogénétique.