Ce blog me permet de transmettre le message de l'Islam, pour éveiller les âmes à plus de compréhension du monde qui nous entoure et ranimer les mémoires trop endormies sur divers sujets. Les musulmans aspirent à voir une Oumma beaucoup plus unie et soudée bien au-delà de nos divergences.
Date de création : 10.06.2013
Dernière mise à jour :
23.11.2025
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Par khadijamine, le 22.11.2025
salam sœur
est-ce possible d’avoir ce livre en verrsion pdf ?
merci à vous
Par hamidou, le 22.11.2025
17:110 : prière à voix haute tout le temps
Par Anonyme, le 15.11.2025
assalamou alaykoum. merci d' avoir attiré l ' attention sur une erreur que beaucoup commettent. su ' allah vou
Par Mountapmbeme Mouss, le 08.11.2025
bien compris
Par Anonyme, le 03.11.2025
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Commentant le segment : " Et Il vous a donne ce qu'Il n'avait donné à personne au monde ". Certains érudits sont d'avis qu'il s'agit plutôt de la communauté muhammadienne, comme si le message était ici adressé à cette communauté. Or, l'opinion communément admise parmi les exégètes est que le segment précité fait partie du discours que Moïse adressa à son peuple et le monde en question serait celui de leur époque.
Selon une autre interprétation, ce segment fait allusion aux bienfaits dont le Très Haut les a comblés lorsqu'Il fit descendre sur eux la manne et les cailles et qu'Il leur prêta l'ombre des nuages, ainsi que tant d'autres miracles dont Il les privilégia. Mais Allah sait le mieux.
Ensuite, le Très Haut nous raconte comment Moïse (que la paix soit sur lui) incita les Fils d'Israël au combat sur le chemin d'Allah (jihad) et notamment à entrer dans la Mosquée Sainte de Jérusalem qui était sous leur autorité du temps de leur aïeul Jacob (que la paix soit sur lui) et ce, avant que celui-ci ne parte avec ses fils et leurs familles en Égypte qui était alors gouvernée par Joseph (que la paix soit sur lui) un de ses fils et où ils demeurèrent jusqu'au moment où Moïse les en fit partir. Néanmoins, de retour vers la terre sainte (Jérusalem), ils la trouvèrent occupée par un peuple de géants redoutables qui s'y étaient installés. Le Messager d'Allah Moïse (que la paix soit sur lui) ordonna alors aux Israélites de s'y introduire afin de combattre leurs adversaires et leur fit la bonne annonce de la victoire promise, mais tenaillés par la peur, ils lui désobéirent et ils enfreignirent ses ordres. Allah les condamna alors à l'errance en guide de châtiment pour avoir manqué à l'injonction divine. Aussi errèrent-ils sur terre pendant quarante ans, incapables de s'orienter dans quelque direction que ce soit. C'est dans ce cadre que s'inscrit la parole que leur adressa Moïse et dont informe le verset : " Ô mon peuple ! Entrez dans la terre sainte " c'est à dire, la terre purifiée, expression qui réfère, selon plusieurs érudits, au Mont Tûr et ce qui l'entoure et selon d'autres à Jéricho (Arîhâ). Toutefois, cette seconde interprétation nous semble peu probable, vue qu'Arîhâ n'était pas concernée par la conquête, voire, elle ne se trouve même pas sur la route des Israélites qui se rendaient à Jérusalem en provenance d'Égypte après qu'Allah a fait périr leur adversaire Pharaon. Cette interprétation demeure plausible, ainsi que le souligne Ibn Jarîr, citant As-Suddî dans un seul cas : si l'on entend par Arîhâ, la Terre Sainte dans sa totalité et non la cité connue sous ce nom et située à l'extrémité d'Al-Ghawr en Jordanie, à l'est de Jérusalem.
Qu'Allah vous a prescrite. Qu'Allah vous a promis de la bouche de votre père Israël en tant que legs pour les croyants d'entre vous " et ne revenez point sur vos pas [en refusant de combattre] ", c'est à dire ne reculez pas devant le combat, " car vous retourneriez perdants. Ils dirent : " Ô Moïse, il y a là un peuple de géants. Jamais nous n'y entrerons jusqu'à ce qu'ils en sortent. S'ils en sortent, alors nous y entrerons ", c'est là leur excuse : la cité dans laquelle tu nous as enjoint d'entrer afin d'y livrer combat est habitée par des géants d'une robustesse et d'une férocité inouïes. Comme nous ne pouvons ni leur faire front, ni les assaillir, nous n'y entreront pas tant qu'ils y seront.
Nombreux sont les exégètes qui ont cité à ce titre les récits Israélites faisant état de la stature énorme de ces géants. Parmi ces derniers, on fait mention d'un certain Ûja, fils de Anaq, fils d'Adam, dont la longueur atteignait trois mille trois cents trente trois coudés et le tiers d'une coudée. Or, c'est là une information si ridicule qu'on a honte de la rapporter. D'autant qu'elle contredit ce qui a été établi dans les deux Sahîh, à savoir le hadith du Messager d'Allah ﷺ qui a dit :
" Allah a créé Adam avec une stature de soixante coudées et depuis la taille des gens n'a pas cessé de diminuer ".
(Rapporté par Bukhâri 3326 et Muslim 2841)
Deux hommes d'entre eux qui craignaient Allah et qui étaient comblés par Lui de bienfaits dirent. Autrement dit, lorsque les fils d'Israël renoncèrent à obéir à Allah et refusèrent de suivre Moïse (que la paix soit sur lui), deux hommes qu'Allah avait comblés de Ses bienfaits, qui craignaient le Commandement divin et redoutaient le châtiment d'Allah, entreprirent de les y inciter. De ce même segment, certains ont proposé la lecture suivante : Deux hommes d'entre ceux que les gens craignaient et respectaient. De l'avis de plusieurs exégètes, il s'agirait de Josué, fils de Nûn et de Caleb, fils de Yephounné, avis que font prévaloir de nombreux érudits par les Anciens et les Successeurs. Puisse Allah les avoir tous en Sa miséricorde.
Attaquez-les par la porte ; puis quand vous y serez entrés, vous serez sans doute les dominants. Et c'est en Allah qu'il faut avoir confiance, si vous êtes croyants. Autrement dit, si vous placez votre confiance en Allah, alors obéissez à Son Commandement et accepter de suivre Son Messager, Il vous prêtera assistance contre vos ennemis, vous donnera le dessus sur eux et vous accordera la victoire en vous faisant pénétrer dans la terre qu'Il vous a destinée. Mais en vain, car "Ils dirent : " Moïse ! Nous n'y entrerons jamais, aussi longtemps qu'ils y seront. Va donc, toi et ton Seigneur, et combattez tous deux. Nous restons là où nous sommes ", ce disant, ils reculèrent devant le combat, désobéissant à leur Messager et renoncèrent à lutter contre leurs ennemis.
Quelle belle époque [en comparaison de celle fournie par le peuple de Moïse] ont fourni les Compagnons du Messager d'Allah ﷺ le Jour de la bataille de Badr lorsque celui-ci leur demanda conseil sur la décision à prendre concernant le combat contre les Qurayshites. Ils étaient en effet sortis intercepter une caravane marchande conduite par Abû Sufyân et voici que l'interception ratée, ils eurent à faire face à un bataillon comptant entre 900/1000 combattants montés, lourdement armés et dotés d'armures en cuir. Abû Bakr (qu'Allah soit satisfait de lui) tint un discours par lequel il marqua son soutien, d'autres Compagnons parmi les émigrés (muhajirûn) firent de même. Mais le Messager d'Allah ﷺ ne cessait de réitérer : " Que me conseillez-vous, ô musulmans ? " En fait, il attendait surtout la réaction des Ansârs (auxiliaires) qui étaient alors majoritaires. Sa'd Ubn Ubâda prit alors la parole et dit :
" On dirait que tu fais allusion à nous, ô Messager d'Allah ! Par Celui qui t'a envoyé avec la vérité, si tu devais nous aligner face à cette mer, nous ordonnant de la traverser et que tu y plongeais toi-même, nous y plongerions avec toi. Pas un seul d'entre nous ne resterait en arrière. Il ne nous répugne point que tu nous confrontes demain avec nos ennemis. Nous sommes patients lors du combat, véridiques lors de l'affront. Puisse Allah te faire voir de nous ce qui réjouira ton œil ! Emmène-nous sur les lieux du combat avec la bénédiction d'Allah ".
Le Messager d'Allah ﷺ fut si content d'entendre Sa'd parler de la sorte que son visage s'éclaira et qu'il redoubla d'entrain.
(Rapporté par Muslim 1779)
Abd Allah Ibn Mas'ûd (qu'Allah soit satisfait de lui) a déclaré à ce sujet : " Je fus témoin d'un acte de la part d'Al-Miqdâd et s'il m'était donné d'en être l'auteur à sa place, je ne l'échangerais contre rien au monde. Voyant le Messager d'Allah ﷺ maudire les associants. Al-Miqdâd lui déclara : " Nous ne te dirons pas ce qu'a dit le peuple de Moïse à Moïse : " Va donc, toi et ton Seigneur, et combattez tous deux. Nous restons là où nous sommes ". Nous, nous combattrons à ta droite et à ta gauche, devant toi et derrière toi ". Je vis le visage du Messager d'Allah ﷺ s'éclairer en entendant ces mots et je le vis se réjouir de ces déclaration ".