Ce blog me permet de transmettre le message de l'Islam, pour éveiller les âmes à plus de compréhension du monde qui nous entoure et ranimer les mémoires trop endormies sur divers sujets. Les musulmans aspirent à voir une Oumma beaucoup plus unie et soudée bien au-delà de nos divergences.
Date de création : 10.06.2013
Dernière mise à jour :
19.10.2025
35025 articles
choukran sœur pour la réponse, j’en suis satisfait de bien comprendre
Par hamidou, le 24.09.2025
veuillez relire votre dernière question avant d'envoyer votre message. voici réponses :
une femme mariée qui
Par khadijamine, le 24.09.2025
question : en fin de texte, allah parle de « « et nous leur ferons épouser des houris aux grands yeux noirs »
Par hamidou, le 24.09.2025
choujran soeur
Par hamidou, le 15.09.2025
alaykoum salam mon frère
la suite est à venir dans ce chapitre. donc patience. http://khadija mine.centerblo
Par khadijamine, le 15.09.2025
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Ensuite, Allah le Très Haut a répondu aux antéislamistes et à leur injustice à l’égard de la femme dans le fait qu’ils la déshéritaient. C’est ainsi qu’Il lui en a attribué son droit, par Sa parole :
" Aux hommes revient une part de ce qu’ont laissé les père
et mère ainsi que les proches ; et aux femmes une part de ce
qu’ont laissé les père et mère ainsi que les proches, que ce
soit peu ou beaucoup : une part fixée ".
(Coran 4:7)
Allah le Très Haut dit au sujet de l’héritage des filles :
" Voici ce qu’Allah vous enjoint au sujet de vos enfants: au fils, une part équivalente à celle de deux filles. S’il n’y a que des filles, même plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s’il n’y en a qu’une, à elle alors la moitié. Quant aux père et mère du défunt, à chacun d’eux le sixième de ce qu’il laisse, s’il a un enfant. S’il n’a pas d’enfant et que ses père et mère héritent de lui, à sa mère alors le tiers. Mais s’il a des frères, à la mère alors le sixième, après exécution du testament qu’il aurait fait ou paiement d’une dette. De vos ascendants ou descendants, vous ne savez pas qui est plus près de vous en utilité. Ceci est un ordre obligatoire de la part d’Allah, car Allah est, certes, Omniscient et Sage. Et à vous la moitié de ce que laissent vos épouses, si elles n’ont pas d’enfants. Si elles ont un enfant, alors à vous le quart de ce qu’elles laissent, après exécution du testament qu’elles auraient fait ou paiement d’une dette. Et à elles un quart de ce que vous laissez, si vous n’avez pas d’enfant. Mais si vous avez un enfant, à elles alors le huitième de ce que vous laissez ".
(Coran 4:11-12)
Il a détaillé la part de la mère quand le défunt a des enfants, et quand il n’en a pas, ainsi que sa part s’il a des frères ou non. On constate que ces versets décrivent les parts de la mère et de l’épouse qui sont des femmes.
Par ailleurs, Allah le Très Haut a accordé une part à la sœur, dans Sa parole :
Ils te demandent ce qui a été décrété. Dis : " Au sujet du
défunt qui n’a ni père, ni frère, Allah vous donne son décret :
si quelqu’un meurt sans enfant mais a une sœur, à celle-ci
revient la moitié de ce qu’il laisse. Et lui, il héritera d’elle en
totalité si elle n’a pas d’enfant. Mais s’il a deux sœurs (ou
plus), à elles alors les deux tiers de ce qu’il laisse. Et s’il a des
frères et des sœurs, à un frère alors revient une portion égale
à celle de deux sœurs ".
(Coran 4:176)
Et Il a décrété une part pour les filles également. En résumé, voici l’héritage de la femme, qu’elle soit fille, sœur, mère ou épouse du défunt, Allah l’a honorée et lui a rendu ses droits dont elle avait été privée et que la période antéislamique lui avait confisqué.
Ensuite, Allah a infirmé et aboli les pratiques antéislamiques et [la pratique qui consiste à ce que les hommes] récupèrent les femmes des défunts de la même manière qu’ils héritent de biens [matériels], puisqu’Il a explicité que la femme n’est pas
une denrée que l’on hérite, mais bien une créature, digne d’honneur et disposant de son rang. Allah le Très Haut a ainsi dit :
" Ô les croyants ! Il ne vous est pas permis d’hériter des femmes
contre leur gré. Ne les empêchez pas de se remarier dans le
but de leur ravir une partie de ce que vous aviez donné, à
moins qu’elles ne viennent à commettent un péché prouvé.
Et comportez-vous convenablement envers elles ".
(Coran 4:19)
Puis Il a aboli les pratiques antéislamiques qui consistaient à épouser un nombre illimité de femmes, en toute injustice. Allah le Très Haut a délimité cela par une quantité qui comporte équité et justice, sans que cela ne constitue un dommage ni pour l’homme la femme. Allah le Très Haut a dit :
" Et si vous craignez de ne pas être justes avec les
orphelins, il est permis d’épouser deux, trois ou quatre parmi
les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de ne
pas être justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves
que vous possédez. Cela, afin de ne pas faire d’injustice ".
(Coran 4:3)
Au lieu qu’ils épousent une multitude de femmes, Allah leur a fixé une limite de quatre épouses, qu’il n’est pas permis d’enfreindre. Ceci est la loi légiférée, et ceci est la pleine justice, qui assure équité à la femme, sans être injuste envers l’homme.
Il y avait, au temps du Prophète ﷺ, des hommes qui s’étaient convertis alors qu’ils avaient de nombreuses femmes. Il leur ordonna d’en choisir parmi elles, comme Allah l’avait légiféré et limité.
Cette législation a pris place, et ce jusqu’à au jour de la résurrection, sans qu’elle ne soit modifiée, ni remaniée, et elle est la législation de justice et d’équité.
Ensuite, Allah le Très Haut a rendu la femme propriétaire de sa dot, Il a dit à ce propos :
" Et donnez aux épouses leur dot, de bonne grâce. Si de
bon gré, elles vous en abandonnent quelque chose, disposez en alors à votre aise et de bon cœur ".
(Coran 4:4)
" Donnez-leur leur revenu comme une chose due. Il n’y a
aucun péché contre vous à ce que vous concluez un accord
quelconque entre vous après la fixation du mahr [don obligatoire que fait le marié à la mariée, et qui est négocié entre les deux parties]. Car Allah
est certes Omniscient et Sage "
(Coran 4:24)
Ainsi, Allah a ordonné de donner à la femme son mahr, et l’a même appelé revenu [mot arabe farîdhah]. Ainsi, qu’il soit appelé sadâq, mahr, ou revenu, il est propriété de la femme. Et cette justice que l’on retrouve dans le fait de la rendre propriétaire de ses biens constitue une réponse [aux adeptes de] la Jâhiliyah (période antéislamique), période dans laquelle la femme était humiliée et n’obtenait aucune considération.
En revanche, Allah le Très Haut a autorisé au père d’en prendre une petite partie, car l’enfant et ce qu’il possède appartiennent à leur père, comme le Prophète ﷺ l’a affirmé :
" La plus pure des choses que vous mangez est celle qui provient de vos efforts. Et certes, vos enfants proviennent de vos efforts ".
(Rapporté par Ahmad, Abû Dawûd, An Nasâ’î, Ibn Mâja d'après Aïcha)
Et il dit un jour à un enfant :
" Toi et tes biens appartenez à ton père ".
(Rapporté par Ahmad, Abû Dâwûd, Ibn Mâjah, d’après Abd Allah Ibn Amr)
Ainsi, il est possible pour le père de prendre une partie de sa dot, sans que cela lui porte préjudice ou lui nuise, car elle est sa fille et le fruit de ses efforts. Quant à autre que le père [pas même le mari], il ne lui est pas permis d’en prendre quoi que ce soit, sauf ce qu’elle lui a offert et donné [de bon gré], ce qui nous illustre le rang de la femme en Islam.
Au sujet de la vie conjugale : L’homme est tenu de préserver ses droits, de ne pas enfreindre ses limites et ne pas lui causer de tort :
" Et comportez-vous convenablement envers elles. Si vous
avez de l’aversion envers elles durant la vie commune. Il se
peut que vous ayez de l’aversion pour une chose où Allah a
déposé un grand bien ".
(Coran 4:19)