Ce blog me permet de transmettre le message de l'Islam, pour éveiller les âmes à plus de compréhension du monde qui nous entoure et ranimer les mémoires trop endormies sur divers sujets. Les musulmans aspirent à voir une Oumma beaucoup plus unie et soudée bien au-delà de nos divergences.
Date de création : 10.06.2013
Dernière mise à jour :
10.10.2025
34970 articles
choukran sœur pour la réponse, j’en suis satisfait de bien comprendre
Par hamidou, le 24.09.2025
veuillez relire votre dernière question avant d'envoyer votre message. voici réponses :
une femme mariée qui
Par khadijamine, le 24.09.2025
question : en fin de texte, allah parle de « « et nous leur ferons épouser des houris aux grands yeux noirs »
Par hamidou, le 24.09.2025
choujran soeur
Par hamidou, le 15.09.2025
alaykoum salam mon frère
la suite est à venir dans ce chapitre. donc patience. http://khadija mine.centerblo
Par khadijamine, le 15.09.2025
>> Toutes les rubriques <<
· Hadiths du Jour (2707)
· A Méditer (1688)
· Sahîh Al-Bukhârî & Muslim (1610)
· Hadiths de Bukhâri & Muslim (1067)
· DIVERS SUJETS & Auteurs (1589)
· Rappel à mes frères et soeurs (923)
· Prières - Invocations - Exhortations (426)
· Le Jeûne du RAMADAN (628)
· Citations & Proverbes (528)
· Ainsi étaient nos Pieux Prédécesseurs (1096)
· Le Lapin et le Lion
· Écouter de la musique pendant le mois de Ramadan
· Celui qui répète en se levant et en se couchant
· Les Effets de La Ilaha Illallah
· Les signes précurseurs de la venue du Dajjâl
· Le rappel se fait en public lorsque le péché...
· Comment chasser les djinns de la maison ?
· Réponse à devinette
· L'invocation qui est exaucé tout les jours
· Les Qualités de l'épouse vertueuse
· Exégèse de la sourate 19 des versets 71-72
· Les grandes ablutions chez la femme musulmane
· Médecins pratiquant la circoncision selon l’islam
· Conseils d'une mère à sa fille à la veille de ses noces
· La demande de pardon " Astaghfiroullâh "
nature nuit histoire chez moi vie centerblog image islam pensée nuit
Rechercher
Le Messager d'Allah (saws) lui donna son turban qu'il avait porté en entrant à la Mecque, de sorte que, en le voyant, Safwân le reconnaisse et croie en la parole de 'Umayr, qui s'en alla avec le turban et rattrapa Safwân.
Celui-ci était sur le point d'embarquer. Il dit : " Ô Safwân ! Que mon père et ma mère te soient donnés en rançon ! Je t'adjure par Allah… Je t'adjure par Allah… Ne te tue pas… Voici le sauf conduit du Messager d'Allah (saws) que je t'apporte ".
Safwân répondit : " Malheur à toi ! Hors de ma vue ! Ne me parle pas, tu n'es qu'un menteur ! "
Il avait peur des conséquences de ce qu'il avait fait aux musulmans mais 'Umayr lui cria : " Safwân ! Que mon père et ma mère te soient donnés en rançon ! Le Messager d'Allah est le meilleur des hommes, le plus pieux, le plus indulgent et le plus parfait des hommes. C'est le fils de ton oncle. Sa gloire est la tienne, son honneur est le tien et son autorité est la tienne ! "
Safwân répliqua : " J'ai peur pour ma personne ".
'Umayr dit : " Il est plus indulgent et plus généreux que tu ne le crois ".
Safwân revient alors en sa compagnie, jusqu'à ce qu'ils arrivent à la Mecque. 'Umayr marcha avec lui et s'arrêta devant le Messager d'Allah (saws).
Safwân dit : " Celui-ci soutient que tu m'as accordé la sécurité ".
" Il dit vrai ", dit le Prophète (saws)
Safwân continua : " Pour ce qui est de mon adhésion à l'ISLAM, accorde-moi deux mois ! " c'est-à-dire, je resterai à la Mecque en tant que polythéiste, adorant les idoles pendant du mois.
Pendant ce temps, je réfléchirai si je dois embrasser l'ISLAM ou non.
Le Prophète (saws) répondit : " Je t'accorde un délai de quatre mois ! "
Par la suite Safwân devint musulman (qu'Allah l'agrée).
Que c'est beau de pardonner aux gens et d'oublier le passer douloureux !
De toute évidence, c'est un trait de caractère digne des grands hommes, qui s'élèvent, grâce à leur caractère, au-dessus de la bassesse de la vengeance, de la haine et de l'assouvissement de la colère.
La vie est courte… en tout cas… trop courte pour la souiller avec la haine et la rancœur.
Même dans ses affaires particulières, le Prophète (saws) se montrait doux et commode.
Al-Miqdâd Ibn as-Aswad (qu'Allah l'agrée) raconte : " Je vins à Médine avec deux de mes compagnons. Nous nous présentâmes aux gens, mais personne ne voulut nous accorder l'hospitalité. Nous nous rendîmes ensuite chez le Prophète (saws) et l'en informâmes. Il nous reçut dans l'une de ses maisons, où il avait quatre chèvres. Il (saws) dit : " Trais-les, ô Miqdâd ! Fais-en quatre parts et donnes-en une part à chacun ".
Al-Miqdâd poursuit : " C'est ce que je faisais ".
Chaque soir, il trayait les bêtes et buvait le lait avec ses deux compagnons. La part du Prophète (saws) restait ; s'il était là, il la buvait, sinon, ils la conservaient jusqu'à son retour.
Un soir, al-Miqdâd avait trait les chèvres comme à son habitude et en fit quatre parts. Ses compagnons et lui-même en consommèrent trois et laissèrent la quatrième pour le Prophète (saws). Celui-ci tarda à venir ce soir là.
Al-Miqdâd se coucha dans son lit et se dit : " Le Prophète (saws) s'est peut-être rendu chez un des Ansâr où on lui a offert à manger. Si je me levais pour boire cette quatrième part ? ".
Il ne cessa de remuer cette pensée dans sa tête, jusqu'à ce qu'il se levât et la but. Il n'en laissa pas une seule goutte au Prophète (saws).
Il dit : " Quand ce lait entra dans mon ventre et prit place, je me mis à penser à ce qu'on avait vécu et je regrettai mon acte. Je me dis : le Prophète (saws) va arriver le ventre vide, assoiffé et ne trouvera rien dans le godet. Il fera alors des invocations contre moi ! Je me couvris aussitôt le visage d'un vêtement, car j'étais si anxieux ".
Une partie de la nuit s'écoula et le Prophète (saws) arriva.
Il salua de manière à se faire entendre par la personne éveillée et sans réveiller celle qui dormait. Al-Miqdâd, dans son lit, le regardait. Le Prophète (saws) s'approcha du godet, le découvrit mais le trouva vide et leva le regard au ciel. Al-Miqdâd eut peur, il se dit : " Maintenant il va faire des invocations contre moi ". Il prêta l'oreille et entendit le Prophète (saws) invoquer : " Ô Allah ! Abreuve celui qui m'a abreuvé et nourris celui qui m'a nourri ".
En entendant ces paroles, il se dit : " Je vais profiter de l'invocation du Prophète (saws). Il se leva et saisit un couteau, s'approcha des chèvres, pour égorger l'une d'elles, afin de donner à manger au Prophète (saws). Il se mit à les toucher et à les palper pour voir laquelle était la plus dodue. Sa main tomba sur le pis de l'une d'elles, constatant qu'il était plein. Il se tourna vers l'autre et fit le même constat. La troisième était dans le même état. Il se mit à les traire dans un grand récipient, le remplit jusqu'à ce que l'écume flottât à la surface, puis l'apporta au Prophète (saws) en disant : " Bois, ô Messager d'Allah ! "
En voyant la quantité de lait qu'il y avait, il s'enquit : " N'avez-vous donc pas bu ô Miqdâd ? ! "
Il répondit : " Bois ô Messager d'Allah ! "
Celui-ci demanda : " Qu'y a-t-il Miqdâd ? "
" Bois d'abord, ensuite je t'en informerai ".
Le Prophète (saws) but le lait puis lui passa le godet.
Al-Miqdâd dit : " Quand je sus que le Messager d'Allah (saws) s'était désaltéré et que j'étais concerné par son invocation : " Abreuve celui qui m'a abreuvé et nourris celui qui m'a nourri ", je fus pris d'un tel rire que je tombai par terre ".
Le Messager d'Allah (saws) s'écria : " Un de tes défauts ô Miqdâd ! "
Je répondis : " Ô Messager d'Allah ! Ce soir tu as tardé à venir. J'avais faim et je me dis : " Le Messager d'Allah (saws) a peut-être dîné chez l'un des Ansâr ! "
Il lui raconta toute l'histoire et comment il avait trait les chèvres deux fois en une nuit, de manière inhabituelle !
Le Prophète (saws) s'étonna : comment les pis des chèvres avaient ils pu se remplir de lait aussi vite ? ! Car il n'était pas possible de les traire deux fois en une nuit !
Il dit : " Ce n'était que la Miséricorde d'Allah. Que ne m'as-tu averti avant que je boive - afin de réveiller tes compagnons pour qu'ils en bénéficient ?
Al-Miqdâd ajouta : " Par Celui qui t'a envoyé avec la vérité ! Je ne me soucie pas, lors que toi tu profites de la miséricorde et que j'en profite avec toi, de ceux qui en bénéficient après nous "
UN POINT DE VUE
La vie consiste à donner et à recevoir
Fais en sorte de donner plus que tu ne reçois.