Ce blog me permet de transmettre le message de l'Islam, pour éveiller les âmes à plus de compréhension du monde qui nous entoure et ranimer les mémoires trop endormies sur divers sujets. Les musulmans aspirent à voir une Oumma beaucoup plus unie et soudée bien au-delà de nos divergences.
Date de création : 10.06.2013
Dernière mise à jour :
06.09.2025
34747 articles
a khadijamine
tout avance petit appétit c est quand même pas simple. mon futur n ayant pas eu les congés pré
Par Anonyme, le 28.08.2025
effectivement lespionne...
Par Anonyme, le 27.08.2025
merci khadijamine.
j ai lu la rubrique, elle a toutes les réponses à mes questions.
le seul inconvénient p
Par Stephanie , le 01.08.2025
ok stéphanie. regarde dans les rubriques : le hiddjab, le voile. tu trouveras tes réponses. http://khadija min
Par khadijamine, le 31.07.2025
désolée khadijamine
mon prénom est stéphanie
encore mille excuses
Par Anonyme, le 31.07.2025
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Sache que la médisance devient licite dans un but valable et légitime, auquel on ne peut parvenir que grâce à elle. Les cas où la médisance devient donc licite sont au nombre de six :
- Il y a par exemple le fait de critiquer ou de discréditer le récit d'un transmetteur de hadiths ou d'un témoin. Cela est permis à l'unanimité des musulmans, voire un devoir lorsque c'est nécessaire.
- Il y a aussi le fait de donner son opinion lorsqu'on est consulté au sujet de quelqu'un qui veut demander la main d'une jeune fille, de quelqu'un qui veut s'associer avec un autre, de quelqu'un qui veut déposer un dépôt chez un autre, de quelqu'un qui veut avoir une relation quelconque avec un autre ou de quelqu'un qui veut devenir le voisin d'un autre.
Lorsqu'on est interrogé sur des cas pareils, on de doit pas cacher ce que l'on sait ; bien plus, on doit mentionner les défauts de la personne en question, et ce à titre de conseil.
- Il y a aussi le fait de donner conseil à l'étudiant en sciences islamiques que l'on voit étudier, sans le savoir auprès d'un innovateur ou d'un débauché et pour qui on craint un préjudice.
Dans ce cas là, il est permis de le mettre en garde contre les agissements de cet homme en lui révélant ses méfaits, à condition bien sûr, que cela soit fait dans un but de bon conseil.
Il est vrai certes, que celui qui veut donner un bon conseil, se laisse pousser par la jalousie et les suggestions du diable aidant, croit qu'il est en train de donner un bon conseil, alors qu'il n'en est rien. Il convient donc de faire preuve de vigilance à cet égard.
- Il y a aussi le fait de signaler à un responsable les négligences d'une personne, lorsque celle-ci ne s'acquitte pas convenablement de sa mission, soit par inaptitude, par inconduite ou par étourderie et autres raisons.
Il est donc permis de signaler les défaillances de cette personne à son responsable afin qu'il l'écarte de ce poste, qu'il la remplace par quelqu'un d'autre qui en est digne ou afin qu'il ait connaissance de la situation et ne soit pas induit en erreur en ce sens ou afin qu'il puisse l'inciter à se corriger ou le remplacer.
Ces six cas ont été cités par les savants qui sont d'accord à l'unanimité sur la plupart d'entre eux. Ces six cas, ont leur fondement dans les hadiths authentiques célèbres :
Aïcha (qu'Allah soit satisfait d'elle) rapporte qu'un homme demanda à voir le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam). Celui-ci accepta de le recevoir en disant :
" Permettez-lui d'entrer ; quel mauvais frère au sein de sa tribu ".
(Rapporté par Bukhâri et Muslim)
D'après Aïcha aussi, le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) a dit :
" Je ne pense pas qu'untel et untel possèdent une quelconque notion de notre religion ".
(Rapporté par Bukhâri)
Fatima Bint Qaïs (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit : Je suis allée voir le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) en lui disant :
" Abû Al Djahm et Mu'âwiyya ont demandé ma main, ô Messager d'Allah ! "
Il m'a répondu : " Pour ce qui est de Mu'âwiyya, c'est un gueux qui ne possède rien et quant à Abû Al Djahm, il n'enlève jamais son bâton de son épaule ".
(Rapporté par Bukhâri et Muslim)
Zaïd Ibn Arqam (qu'Allah l'agrée) a dit : Nous sommes sortis un jour avec le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) en expédition et les gens furent soumis à de dures conditions de voyage. Abd Allah Ibn Ubayy dit alors :
" Ne dépensez rien au profit des compagnons du Messager d'Allah jusqu'à ce qu'ils se dispersent, en ajoutant : " Lorsque nous arriverons à Médine, le puissant en fera sortir le méprisé ! " Je suis allé voir alors le Messager d'Allah (sallallahu 'alayhi wa sallam) pour lui rapporter ces propos. Il envoya quelqu'un chercher Abd Allah Ubayy, mais celui-ci nia avoir tendu de tels propos. Les gens dirent alors : " Zaïd a induit en erreur le Messager d'Allah ! " Ces propos me firent beaucoup de mal jusqu'à ce qu'Allah confirma mes paroles : " Quand les hypocrites viennent à toi ". Le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) les invita alors pour demander pardon à Allah en leur faveur, mais ils détournèrent leurs têtes ".
(Rapporté par Bukhâri et Muslim)
D'après Aïcha (qu'Allah soit satisfait d'elle), Hind l'épouse d'Abû Sufiâne vint voir le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) et lui dit :
" Abû Sufiâne est un homme avare et il ne me donne pas suffisamment de quoi subvenir à mes besoins ainsi qu'à ceux de mes enfants. Aussi, il m'arrive de lui prendre sans qu'il le sache, ce qui m'est nécessaire ".
Il lui répondit : " Prends juste ce qui t'est nécessaire ainsi qu'à tes enfants ".
(Rapporté par Bukhâri et Muslim)