Ce blog me permet de transmettre le message de l'Islam, pour éveiller les âmes à plus de compréhension du monde qui nous entoure et ranimer les mémoires trop endormies sur divers sujets. Les musulmans aspirent à voir une Oumma beaucoup plus unie et soudée bien au-delà de nos divergences.
Date de création : 10.06.2013
Dernière mise à jour :
23.11.2025
35255 articles
pdf surmonte la dunya: cœur pur et âme bienveillante qui traverse cette vie gratuit par is. miraj ⇒ https://li
Par khadijamine, le 22.11.2025
salam sœur
est-ce possible d’avoir ce livre en verrsion pdf ?
merci à vous
Par hamidou, le 22.11.2025
17:110 : prière à voix haute tout le temps
Par Anonyme, le 15.11.2025
assalamou alaykoum. merci d' avoir attiré l ' attention sur une erreur que beaucoup commettent. su ' allah vou
Par Mountapmbeme Mouss, le 08.11.2025
bien compris
Par Anonyme, le 03.11.2025
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Les épidémies mondiale interminable
qui ravage l'humanité,
Le feu qui consume des milliers d'hectares,
La sécheresse qui se multiplie,
La canicule (la chaleur) qui se multiplie.
On rapporte de Mâlik Ibn Dînâr qu'il fut questionné quant à la raison de son repentir. Il répondit :
J'étais un soldat de la garde et j'étais très porté sur la boisson.
Un jour, j'achetai une esclave qui m'avait fait une très belle impression. Elle me donna une fille que j'aimais éperdument. Quand elle commença à marcher, je ne fis que l'aimer encore plus. Elle s'habitua à moi et moi à elle.
Quand je posais le vin devant moi, elle venait me le disputer, si bien qu'elle le renversait sur mes vêtements.
Lorsqu'elle eut deux ans, elle mourut. Sa perte me rendit triste et malade.
A la quinzième nuit de cha'ban, ce fut un vendredi, je passai la nuit ivre.
Je ne m'acquittai pas de la prière du soir.
Je vis en songe comme si la fin du monde était arrivée. On avait soufflé dans la trompe. Les tombes s'étaient renversées sans dessus dessous et toutes les créatures étaient rassemblées, moi y compris.
J'entendis un sifflement dans mon dos et en me retournant je vis un énorme serpent - le plus grand qui puisse exister - noir et bleu. Il avait ouvert la bouche et avançait rapidement en ma direction. Je m'enfuis devant, apeuré et terrorisé.
Sur ma route, je passai devant un vieil homme aux vêtements purs et à l'odeur agréable. Je le saluai et il répondit à ma salutation.
Je dis : " Ô Cheikh ! Protège-moi de ce serpent, qu'Allah t'accorde Sa protection ! " Il pleura et me dit : " Je suis faible et ce serpent est plus fort que moi. Je ne peux rien contre lui. Mais poursuis ta route et fais vite, car il se peut qu'Allah permette à quelqu'un d'autre de te sauver ".
Je me mis à courir, fuyant droit devant moi jusqu'à ce que j'escalade une des hauteurs de la Résurrection. Je dominai les couches du feu. En regardant leur horreur je faillis y tomber tant j'avais peur du serpent.
Quelqu'un me lança : " Retourne, car tu n'es pas de ses habitants ! " Ses paroles m'apaisèrent et je retournai.
Le serpent se lança de nouveau à ma recherche.
Je vins vers le Cheikh et dis : " Ô Cheikh ! Je t'avais demandé de me protéger de ce serpent, mais tu ne l'as pas fait ".
Le Cheikh se mit à pleurer et s'écria : " Je suis faible. Mais dirige-toi vers cette montagne, où se trouvent les dépôts des musulmans. S'il y en a un qui t'appartient, il viendra à ton secours ".
Je regardai et aperçus une montagne ronde en argent. Il y avait des lucarnes percées, des rideaux suspendus à chaque lucarne et fenêtre, dotée de deux battants en or rouge, décorés de rubis et incrustés de perles. Chaque battant était recouvert d'un rideau de soie.
Quand je vis la montagne, je m'enfuis vers elle en courant, le serpent sur mes talons.
Lorsque je parvins à proximité, un ange cria : " Levez les rideaux, ouvrez les portes et montez sur la hauteur. Ce pauvre a peut-être chez vous un dépôt qui le protègera de son ennemi ".
Aussitôt les rideaux furent soulevées, les portes ouvertes et de ces ouvertures des enfants avec des visages comme des lunes me contemplèrent.
Le serpent s'approcha de moi et je ne sus plus quoi faire.
Un enfant cria : " Malheur à vous ! Montez tous ! Son ennemi s'est approché de lui ".
Ils montèrent vague après vague et me voici en présence de ma fille qui était morte. Elle me regardait avec les autres. Quand elle me vit elle pleura et s'écria : " Par Allah ! Mon père ! " Puis, elle sauta dans un plateau de lumière à l'instar d'une flèche décochée jusqu'à ce qu'elle se tînt debout devant moi.
Elle allongea la main gauche vers ma main droite. Je m'accrochai à elle et elle tendit sa main droite vers le serpent qui battit en retraite.
Puis, elle fit asseoir et s'assit dans mon giron. De sa main droite elle frappa ma barbe et dit : " Papa ! "
" Le moment n'est-il pas venu pour ceux qui ont cru, que leurs cœurs s'humilient à l'évocation d'Allah ".
(Coran 57:16)
- Je pleurai et m'enquis : " Ma fille, connaissez-vous le Coran ? "
- Elle me répondit : " Papa, nous le connaissons mieux que vous ".
- Je répliquai : " Dans ce cas, informe-moi sur ce serpent qui a voulu me tuer ".
- Elle répondit : " C'est ta mauvaise action. Tu l'as rendue forte et elle a voulu te noyer dans le feu de la Géhenne ".
- Je dis : " Informe-moi sur ce cheikh que j'ai rencontré sur ma route ".
- Elle répondit : " Papa ! C'est ta bonne action. Tu n'as affaiblie tant et si bien qu'elle ne pouvait rien faire contre ta mauvaise action ".
- Je demandai : " Ma fille ! Que faites-vous sur cette montagne ? "
- Elle répondit : " Nous sommes les enfants des musulmans. On nous y a logés jusqu'à l'avènement de l'Heure. Nous attendons votre venue pour que nous intercédions en votre faveur ".
Je me réveillai tout effrayé et me mis à renverser tout le vin qu'il y avait.
Je brisai les récipients et me repentis à Allah Tout Puissant.
Telle fut la raison de mon repentir.
L'iman Ibn Abd Al-Barr (qu'Allah l'agrée) dit dans At-Tamhid 7/134 :
" Parmi les preuves qu'Allah le Très Haut est sur Son Trône, au-dessus des Sept cieux, c'est que tous les monothéistes, qu'ils soient arabes ou non-arabes, lèvent leurs visages vers le ciel afin d'invoquer Allah (béni et élevé soit-Il), lorsqu'une épreuve ou un mal les touche et ceci est très connu chez les savants ainsi que chez les gens de la masse, il n'y a même pas besoin de le prouver, il suffit de le rappeler, car c'est une chose nécessaire que personne ne leur a enseigné. Et aucun musulman ne l'a critiqué.
Le Prophète ﷺ a dit à la servante que son maître voulait affranchir, afin de savoir si elle était croyante ou pas :
" Où est Allah ? "
Il a dit cela afin de la tester. Puis elle a montré le ciel.
Ensuite, il lui a dit : " Et qui suis-je ? "
Elle a dit : " Le Messager d'Allah ".
Il a ensuite dit : " Affranchis-la, car elle est croyante ".
(Rapporté par Mâlik dans Al-Muwatta 1474 et dans le Sahîh de Muslim 537 ainsi qu'Abû Dawûd dans ses Sunan 930, 3282)
Que celui qui veut savoir avec certitude que la force et la puissance n’appartiennent qu’à à Allah, qu'il s'embarque sur la mer !
Source : Ahkâm Al-Qur'an d'Ibn Al-Arabi