Ce blog me permet de transmettre le message de l'Islam, pour éveiller les âmes à plus de compréhension du monde qui nous entoure et ranimer les mémoires trop endormies sur divers sujets. Les musulmans aspirent à voir une Oumma beaucoup plus unie et soudée bien au-delà de nos divergences.
Date de création : 10.06.2013
Dernière mise à jour :
23.11.2025
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Par khadijamine, le 22.11.2025
salam sœur
est-ce possible d’avoir ce livre en verrsion pdf ?
merci à vous
Par hamidou, le 22.11.2025
17:110 : prière à voix haute tout le temps
Par Anonyme, le 15.11.2025
assalamou alaykoum. merci d' avoir attiré l ' attention sur une erreur que beaucoup commettent. su ' allah vou
Par Mountapmbeme Mouss, le 08.11.2025
bien compris
Par Anonyme, le 03.11.2025
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Cheikh Al-Islam Ibn Taymiyya (qu'Allah lui fasse miséricorde) a expliqué que la science passe avant le fait d’ordonner une chose. La douceur se fait avec les commandements, et la bienfaisance après cela.
Et celui qui n’est pas savant sur le sujet rentre dans ce sur quoi il n’a aucune connaissance. S’il est savant sur le sujet sans être doux, il est à exemple du médecin dépourvu de douceur, qui se conduit avec rudesse envers le malade qu’il n’acceptera pas de lui, ou encore l’éducateur rude dont l’enfant n’acceptera rien.
Allah a dit à Mussâ et Hâroûn :
" Puis, parlez-lui gentiment. Peut-être se rappellera t-il ou [me] craindra t-il ".
(Coran 20:44)
Puis, lorsqu’il a ordonné et interdit, il subira nécessairement des torts, donc il doit patienter et être clément, comme Allah dit :
" Commande le convenable, interdis le blâmable et endure ce qui t’arrive avec patience. Telle est la résolution à prendre dans toute entreprise ! "
(Coran 31:17)
Allah a ordonné à Son Prophète de patienter sur les torts des polythéistes en de nombreux moments, alors qu’il est l’imam de ceux qui ordonnent le bien et interdisent le mal. Il faut donc avant tout que l’individu ordonne pour Allah, vise l’obéissance à Allah en ce qu’il ordonne, aime la rectitude pour celui à qui il s’adresse. Et s’il fait cela pour rechercher le pouvoir et rabaisser autrui, cela sera une ardeur qu’Allah n’acceptera pas, de même s’il fait cela pour rechercher renommée et ostentation, l’œuvre sera vaine.
Puis si on appel est rejeté, qu’il subit des torts, qu’on l’accuse d’être dans le faux et d’avoir un but corrompu, et que son âme cherche à triompher et que Satan vient à lui, alors que son acte débutait pour Allah puis s’est transformé en suivi des passions qu’il cherche à triompher sur celui qui lui cause du tort, et peut même en arriver à transgresser vis à vis de celui qui lui cause du tort.
Il en est ainsi pour ceux qui tiennent différents avis, puisque chacun d’entre eux pense que la vérité est avec lui et qu’il est sur la Sunna, mais la plupart d’entre eux ne fait que suivre ses passions, secourir son honneur, son rang et ce qu’on lui attribue.
Ils ne cherchent pas à ce que la Parole d’Allah soit la plus élevée, que la religion ne soit vouée qu’à Allah, mais ils se mettent en colère contre celui qui s’oppose à eux, même si c’est un savant excusé pour son avis et contre qui Allah n’est pas courroucé et au contraire, ils agréent celui qui est d’accord avec eux, même si c’est un ignorant au but mauvais, n’ayant ni science ni but louable. Cela les amène à louer celui qu’Allah et Son Messager ne louent pas, et à blâmer celui qu’Allah et Son Messager ne blâment pas. Leur alliance et inimitié suivent leurs passions, et non la religion d’Allah et Son Messager.
C’est le cas des mécréants qui ne recherchent que leurs passions et disent : " untel est notre ami et untel est notre ennemi ! " Ils ne considèrent pas l’alliance et l’inimitié d’Allah et de Son Messager, et c’est ainsi que naissent les troubles entre les gens. Et si la religion n’est pas entièrement vouée à Allah, surviennent des troubles.
Le fondement de la religion est que l’amour et la haine soient pour Allah, de même que l’alliance et l’inimitié, d’adoration et la recherche d’aide, la peur et l’espoir, le don et la privation. Cela ne peut être réalisé que par le suivi du Messager d’Allah ﷺ qui ordonne ce qu’Allah ordonne, interdit ce qu’Il interdit, dont l’alliance et l’inimitié sont conformes à celles d’Allah, dont l’obéissance est celle ordonnée par Allah, et dont la désobéissance est celle interdite par Allah.
Celui qui suit ses passions, elles l’aveuglent et le rendent sourd, ainsi il ne se remémore pas ce qui revient à Allah et Son Messager à ce sujet et ne cherche pas à le connaître. Il ne se réjouit pas pour Allah et Son Messager, ne se courrouce pas pour Allah et Son Messager, et se courrouce lorsque survient ce qui provoque sa colère par ses passions.
Il a également une ambiguïté religieuse qui est que ce qui le réjouit et le met en colère est la Sunna, la vérité et la religion. Si on admet que son avis est la pure vérité, la religion de l’Islam, mais que son but n’est pas que la religion d’Allah soit totalement vouée à Allah, ou que la Parole d’Allah soit la plus élevée, et qu’il ne vise qu’à défendre sa personne et son clan, l’ostentation, être vénéré et loué, qu’il fasse cela par bravoure et tempérament, ou pour un but de ce bas monde, et non pour Allah et pour combattre sur le chemin d’Allah, alors que dire de celui qui prétend la vérité et la Sunna mélange - comme ses semblables – la vérité et le faux, la Sunna et l’innovation, et envers son contradicteur vérité et faux, Sunna et innovation.
C’est le cas de ceux qui divergent, divisent leur religion et forment des sectes, les uns déclarent les autres mécréants et pervers.
(Minhaj as-Sunnah an-Nabawiyyah de Ibn Taymiyya 5/254-257)
Cheikh Al-Islam Ibn Taymiyya (qu'Allah lui fasse miséricorde) dit :
" L’expérience (wujûd) de la douceur de la foi dans le cœur ne provient pas d’un amour de la compensation, non encore advenue. Au contraire, celui qui n’agit qu’en vue de gages n’expérimente comme état, en son action, que la fatigue, la peine, et quelque chose qui l’endolorit. Si l’amour d'Allah et de Son Envoyé ne signifiaient rien d’autre que l’amour de la rétribution à laquelle le serviteur parviendra, il n’y aurait pas ici la douceur de la foi dont le serviteur fait l’expérience en son cœur, alors qu’il se trouve dans la demeure de l’obligation (taklîf) et de l’épreuve (imtihân) ".
(Minhaj as-Sunnah 3/101)
Cheikh Muhammad Nasir Ad-Din al-Albani (qu'Allah lui fasse miséricorde) a dit :
Si nous nous arrêtons à cette petite partie du début de la vie de l’imam Al-Albânî nous y voyons la description véridique dans laquelle l’imam Mohammad bin Ibrâhîm Âli Ach-Cheikh fut véridique lorsqu’il a dit de manière textuelle et ce sont ses mots dans le recueil de fatâwâ de Mohammad ibn Ibrâhîm Âli Ach-Cheikh : " Il est un homme de la Sunna qui défend la Vérité et attaque les gens du Faux ".
Et donc le très savant et imam Mohammad bin Ibrâhîm l’a décrit par ces caractéristiques : " Il est un homme de la Sunna ".
Et je fus surpris lorsque j’ai trouvé que les deux élèves de l’imam Mohammad bin Ibrâhîm qui sont l’imam Ibn Bâz et l’imam Ibn Othaymîn lorsqu’ils furent questionnés au sujet d’Al-Albânî, ils ont dit une parole dans laquelle il y a ces mots dits par l’imam Mohammad bin Ibrâhîm et donc Ibn Bâz a dit : " Il est un homme de la Sunna et il a une croyance correcte et on peut bénéficier de ses livres et moi je fais partie de ceux qui bénéficient de ses livres et ce qui est obligatoire c’est de retenir la langue quant au fait de le mentionner en mal et (ce qui est obligatoire) c’est de faire des invocations (à Allah) pour lui qu’Il lui augmente le bien et qu’Il lui facilite plus (le bien) ".
Quant à Ibn Othaymîn il dit : " Il est un homme de la Sunna ". Et ici j’attire l’attention sur le sens de la parole " Il est un homme de la Sunna " chez les savants et quand est-ce que cette parole est dite ?
L’imam Al-Barbahârî [et d’autres parmi nos imams] a dit et c’est le sens de ce qu’il a dit : " Et on ne dit pas d’un homme qu’il est un homme de la Sunna jusqu’à ce qu’il regroupe toutes les caractéristiques de la Sunna, jusqu’à ce qu’il ait une croyance correcte et jusqu’à ce qu’il soit conforme à tous les fondements de la Sunna ".
Et l’attaque envers les gens du faux comme l’a décrit Mohammad Ibn Ibrâhîm en ce qui concerne Al-Albânî : " Il est un homme de la Sunna qui défend la Vérité et attaque les gens du Faux ".
Le cheikh a attaqué dans sa jeunesse dans la vingtaine mais de plus avant la vingtaine d’années, il était un homme qui attaquait les gens des innovations (religieuses) comme les soufites et il a attaqué les gens de l’égarement et des innovations (religieuses) parmi les affabulateurs adorateurs de tombes et il a défendu le prêche des Gens de la Sunna au sujet de l’Unicité surtout dans les traces qui se trouvaient autour d’eux en termes de vénération des tombes et du fait de se réfugier vers les tombes et d’implorer le secours des morts.
Et donc il fit cela tôt à tel point que faisait partie de ses premiers ouvrages ce par lequel Mohammad bin Ibrâhîm l’a décrit : "…et attaque les gens du Faux ".
Et donc il écrivit son livre que nous lisons toujours et dont nous bénéficions encore qui est " Tahdhîr as-sâjid min ittikhâdh al-qoubour masâjid " : "Mise en garde à celui qui se prosterne de prendre les tombes pour mosquées ".
Et cette attaque est la plus grande lorsque tu attaques les gens du Faux dans leur croyance et il y a une différence entre le fait que l’homme soit un homme de la Sunna qui se limite à la mettre en application et le fait qu’il attaque les gens du Faux.
Il se peut qu’il connaisse la Sunna et la mette en application pour lui-même mais qu’il soit poltron et faiblisse quant au fait d’attaquer les gens du Faux.
La complétion de la Religion de l’homme est qu’il pratique la Sunna pour lui-même et qu’il y appelle et qu’il défende ses Gens (les Gens de la Sunna) et donc à ce moment-là il est nécessaire d’attaquer le Faux.
Et le très savant Mohammad bin Ibrâhîm a classé ses paroles de cette sublime manière qui lui a été facilitée (par Allah) (à Cheikh Mohammad bin Ibrâhîm) lorsqu’il a dit : " Il est un homme de la Sunna qui défend la Vérité et attaque les gens du Faux ".
Source : Rediffusé par la radio salafi www.annahj.com Les gens de science suivants y ont participé : Cheikh Khâlid Abder-Rahmân, Cheikh Khâlid bin Dahwî Adh-Dhafîrî, Cheikh Fawwâz Al-Awadî, Cheikh Âdil Mansour qu’Allah les préserve tous.
Il dit qu’Allah lui fasse miséricorde :" Tous ceux qui étaient autour de moi étaient des Achâ’irah et des Soufites mais Allah m’a fait aimer la croyance des pieux prédécesseurs et Il m’a fait aimer les livres de Cheikh Al-Islâm Ibn Taymiyyah et m'a fait aimer la science du hadith ".
Et quand il est arrivé à l’âge de 20 ans il dit (à ce sujet) :" J’ai surpris ma famille et mon peuple par ce qu’ils ne connaissaient pas ".
Il dit : " J’ai commencé à leur reprocher de prier dans des mosquées où il y a des tombes et je ne priais pas dans la Mosquée Omeyade. Car ils disaient que Yahyâ (alayhi as-salâm) était enterré dans la Mosquée Omeyade ".
Il dit : " Cela s’est répandu à mon sujet ".
Il dit qu’Allah lui fasse miséricorde :" Jusqu’à ce que les chouioukh à cet endroit se sont lassés de moi et ont trouvé grand que j’interdise aux gens, en termes de clarification religieuse, de prier dans la Mosquée Omeyade mais de plus je leur interdisais avec science de prier dans toutes les mosquées où se trouve une tombe.Et j’interdisais cela de la manière la plus forte et j’argumentais cela par les ahâdîth et les paroles des imams tels que l’imam Ach-Châfi’î et Ahmad et d’autres.A tel point que ces chouioukh sont venus chez mon père alors que lui avait une préséance chez eux et qu’il était l’un de leurs savants ahnâf et ils se sont plaints à lui de ce que faisait son fils ".
Al-Albânî parlait de lui-même (qu’Allah lui fasse miséricorde).
Il dit : " Et une nuit mon père m’a convoqué et m’a consulté au sujet de cette affaire ".
Il dit :" Je lui ai donc expliqué ce que j’avais et je lui ai cité les preuves et qu’il était interdit de construire des mosquées sur les tombes et qu’il était interdit de prier dans ces mosquées ".
Al-Albânî dit : "A résulté de cette affaire l’écriture de mon livre " Tahdhîr as-sâjid min ittikhâdh al qoubour masâjid " : " Mise en garde à celui qui se prosterne de prendre les tombes pour mosquées ".
Et il fait partie de mes premiers écrits.
Et donc mon père m’a convoqué et il m’avait appris un métier par lequel je gagnais ma subsistance qui est le métier qui consiste à réparer les montres (les horloges) ".
Il dit : " Après l’avoir vu plusieurs fois, il m’a convoqué une nuit et m’a dit : "Tu as le choix entre deux choses : Soit la conformité soit la séparation ". C’est à dire : soit tu te conformes à ce que je veux de toi et c’est que tu ne parles plus sur ce genre de sujets et que tu n’interdises pas et que tu ne mettes pas en garde les gens contre le fait de prier dans les mosquées dans lesquelles se trouve une tombe, soit la séparation : que tu partes de la maison ".
Il dit :" Je lui dis alors : Laisse-moi trois jours afin que je réfléchisse et que je médite au sujet de mon affaire ".
Il dit :" Et il (qu’Allah le récompense par un bien)- m’avait appris le métier qui consiste à réparer les montres (horloges) ".
Il dit : " Après trois jours je suis retourné chez mon père et je lui ai dit : " S’il le faut absolument, alors la séparation ".
Il dit : " Et à partir de ce moment-là je suis parti de la maison et j’ai travaillé à réparer les montres et j’ai ouvert un petit magasin afin que j’y gagne ma subsistance en exerçant ce métier ".
Il dit : " Et je n’avais pas assez d’argent pour acheter les livres et donc je me rendais à Al-Maktabah Adh-Dhâhiriyyah et j’empruntais des livres et comme je m’y rendais souvent, les responsables de cette bibliothèque se sont mis d’accord avec moi pour que je puisse y dormir lorsqu’ils ont vu que je m’y rendais souvent à tel point que j’ai eu un endroit qui m’y était réservé à Al-Maktabah Adh-Dhâhiriyyah. Et là une histoire m’est arrivée qui est l’histoire de la feuille perdue ".
Le docteur Khâlid Adh-Dhafîrî m’a dit qu’il aimerait parler de cette feuille perdue et je lui ai dit que ce serait donc pour lui.
Et donc je laisse l’histoire de la feuille perdue à la demande de Cheikh Khâlid Adh-Dhafîrî mais j’attire l’attention sur le fait que cette histoire que vous allez entendre de Docteur Khâlid Adh-Dhafîrî fut la cause que Cheikh Al-Albânî lise tous les livres de hadîth d’Al-Maktabah Adh-Dhâhiriyyah : les masânîd et les majâmî’ et les ajzâ etc.
A tel point qu’il a écrit de sa propre main alors qu’il était encore jeune 40 volumes dans le hadith.
40 volumes dans le hadith ayant pour titre " Ar-Rawd An-Nadîr ".
Et lorsqu’il fut dit à l’imam Al-Albânî qu’Allah lui fasse miséricorde : " Pourquoi ne diffuses-tu pas ton livre "Ar-Rawd An-Nadîr" avec ce qu’il contient comme bénéfices alors que tu y renvoies beaucoup et que tu y retournes pour le takhrîj des ahâdîth et donc pourquoi ne le diffuses-tu pas et ne le répands-tu pas parmi les gens ? ".
Il dit : " Car je l’ai écrit et je l’ai compilé à un âge jeune et je ne l’ai compilé que pour moi et donc je ne peux le diffuser et le répandre qu’après l’avoir revu. Mais je ne fais qu’en bénéficier moi-même. Mais je ne peux pas l’imprimer et le diffuser à la masse des gens".
Toutes les louanges reviennent à Allah, nous Le louons et demandons Son aide et nous cherchons refuge en Lui contre nos propres maux et contre nos mauvaises actions ; celui qu’Allah guide personne ne peut l’égarer et celui qu’Allah égare personne ne peut le guider.
J’atteste qu’il n’y a de divinité adorée avec vérité qu’Allah, Lui Seul : Il n’a aucun associé, et j’atteste que Muhammad ﷺ est Son serviteur et Son Messager.
Allah dit :
" Ô les croyants ! Craignez Allah comme Il doit être craint. Et ne mourez qu’en pleine soumission ".
(Sourate 3:102)
" Ô Hommes ! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux-là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d’hommes et de femmes. Craignez Allah au Nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez Allah de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement ".
(Sourate 4:1)
" Ô vous qui croyez ! Craignez Allah et parlez avec droiture, afin qu'Il améliore vos actions et vous pardonne vos péchés. Quiconque obéit à Allah et à Son messager obtient certes une grande réussite ".
(Sourate 33:71-72)
Ensuite :
La meilleure parole est la parole d'Allah et la meilleure guidance est la guidance de Muhammad ﷺ. Les pires choses sont celles qui sont inventées (dans la Religion), et toutes les choses inventées (dans la Religion), sont des innovations (religieuses), et toute innovations (religieuse), sont des égarements, et tous les égarements sont en Enfer.
Ceci étant dit :
Il y eut récemment au Koweït un colloque regroupant des gens de science salafis ayant pour titre : " L'imam Al-Albânî : sa vie et son combat ".
Parmi les gens de science qui ont participé à ce colloque : Cheikh Khâlid Abd Ar-Rahmân Al-Misrî (qu'Allah le préserve). Voici la traduction de son intervention dans ce colloque :
" Nous allons parler ce soir incha'Allah au sujet d'un illustre imam parmi les imams des Gens de la Sunna, mais de plus certains imams de cette époque l'ont décrit comme étant le revificateur de la science du hadith dans la communauté et celui qui l'a décrit comme tel est l'imam Ibn Bâz (qu'Allah lui fasse miséricorde) et parmi les descriptions les plus complètes et les meilleures que j'ai trouvées au sujet de l'imam Al-Albânî, c'est la description faite par l'imam le faqîh le Cheick des chouioukh des Gens de la Sunna : Le Mouftî de l'Arabie Saoudite l'imam le faqîh le très savant Mohammad bin Ibrâhîm Âli Ach-Cheikh (qu'Allah lui fasse miséricorde)qui a décrit l’imam Al-Albânî par une sublime description que vous trouverez dans le livre de l’imam le très savant Mohammad bin Ibrâhîm Âli Ach-Cheikh qui est le Recueil de fatâwâ du très savant Mohammad bin Ibrâhîm décrivant Al-Albânî en disant : "Il est un homme de la Sunna qui défend la Vérité et attaque les gens du Faux".
Voici donc trois caractéristiques par lesquelles l’imam Mohammad bin Ibrâhîm, le cheikh des chouioukh des Gens de la Sunna, le cheikh des deux cheikhs Ibn Bâz et Al-Othaymîn, (a décrit l’imam Al-Albânî).
Et si nous connaissons l’époque à laquelle l’imam Mohammad bin Ibrâhîm a dit cette parole et l’année de sa mort et l’année de la vie d’Al-Albânî lorsque l’imam Mohammad bin Ibrâhîm a dit cette immense recommandation nous remarquerons alors une chose étonnante qui est que l’imam Mohammad bin Ibrâhîm décrit l’imam Al-Albânî de cette manière alors que l’imam Al-Albânî avait la cinquantaine ou un peu plus que l’âge de 50 ans ou un peu moins de 50 ans.
Puis l’imam Al-Albânî a vécu après le décès de l’imam Mohammad bin Ibrâhîm ce qui se rapproche de 40 ans après qu’il l’ait décrit par ces sublimes caractéristiques en disant :" Il est un homme de la Sunna qui défend la Vérité et attaque les gens du Faux".
Donc si tel était le statut de l’imam Al-Albânî auprès de l’imam Mohammad bin Ibrâhîm alors je dis :
L’imam Al-Albânî est Abou Abdir-Rahmân Mohammad Nâsir AdDîn Al-Albânî ibn Nouh ibn Najât ibn Âdam Al-Ichqoudrî Al-Albânî qu’Allah lui fasse miséricorde.
Et il est affilié à cette famille albanaise à laquelle sont affiliées certaines personnes qui s’occupent du hadith qui est la famille d’Al-Arna'out et il est donc Arna'outî d’Albanie de Chqodrâ (Shkodra) qui est une province et la capitale de l’Albanie à cette époque.
Et l’imam Al-Albanî (qu’Allah lui fasse miséricorde) était originaire d’un pays non-arabe : l’Albanie.
Il y est né (qu’Allah lui fasse miséricorde) et lorsqu’un gouverneur est arrivé au pouvoir là-bas du nom de Ahmet Zogu qui a commis des choses qui ont forcé beaucoup de gens à émigrer et à sortir de ce pays lorsqu’il y eut de l’oppression envers les gens de l’Islam et sur les gens de la Sunna qui s’y trouvaient.
Nouh, le père de l’imam Al-Albânî, était originaire de ce pays et il est parti à Damas avec son fils Al-Albânî alors qu’il était un petit enfant.
Et l’imam Al-Albânî (qu’Allah lui fasse miséricorde) a grandi à Damas alors qu’il était un petit enfant et il a fait ses primaires à Damas et il a vécu sa vie à Damas et il a étudié à ses débuts et dans son enfance -et il commença jeune- avec son père Al-Hâjj Nouh qui était un Mouftî des Ahnâf, un grand parmi leurs grands et il était respecté chez eux parmi les savants hanafis à Damas.
Et donc l’imam Al-Albânî (qu’Allah lui fasse miséricorde) a étudié avec son père et avec certains chouioukh qui vivaient à cette époque-là jusqu’à ce que [comme il l’a dit] la science du hadith devienne aimée par lui sans que qui que ce soit ne l’oriente vers cette science.
Et ceci fait partie des choses étonnantes que cette science devienne aimée par cet imam à ce jeune âge sans que qui que ce soit ne l’oriente vers cette science mais ce n’est que La Grâce d’Allah envers ce grand imam (qu’Allah lui fasse miséricorde).
Puis le cœur du cheikh (qu’Allah lui fasse miséricorde) s’est attaché aux livres qui traitent de la croyance des pieux Prédécesseurs.